Un si joli petit village : The fight continues

Il y a quelques temps que ma plume s’est endormie, préférant appartenir à la construction d’un avenir florissant pour notre petit village, plutôt qu’à une opposition systématique stérile. Cependant des évènements récents m’oblige à sortir d’un devoir de réserve que je m’étais moi-même imposé.

Il se trouve que notre bon vieux Pepone, pris de convulsions épileptiques intellectuelles, se laisse aller à cette culture du ragot et de la rumeur qui lui va si bien. Ceux-ci me concernant plus ou moins directement, il m’appartient de rectifier l’exactitude de faits vérifiables et incontestables.

Pepone, dans son aigreur caractérisée envers notre Don Camillo, s’est laissé aller à quelques carabistouilles dans son appréciation de mon apport à la commune sur la fin de la mandature précédente. Il parle ainsi sous cape à qui veut bien l’entendre que la mission qui me fut consentie en son temps était à défaut d’un emploi fictif, un montage financier me permettant à moindre sueur d’obtenir des subsides de la commune.

Une mission fictive ?

Pour ceux qui auraient pu manquer certains épisodes, j’ai contribué durant cette période à la création de dispositifs d’emplois d’avenir pour des jeunes villefranchois (Entre guillemets ce dispositif d’aide à l’emploi fut annulé par notre bon Pepone, mettant en difficulté sa propre jeunesse qu’il dit défendre en créant une journée lui étant dédiée...) J’ai également durant cette période contribué avec les institutionnels départementaux (Pole emploi, Union Patronale, Mission Locale, Greta) à la mise en place d’un pré-recrutement pour les 423 demandeurs d’emploi de notre commune (Chiffre au 31/12/2013 vérifiable auprès de Pôle Emploi), préparation de plan de formation en rapport avec les projets que notre commune s’apprêtait à signer. L’élection de Pepone signa le deuil de ces projets et de ma mission bien évidemment.

Par ailleurs des rapports mensuels ont été délivré sur l’avancement trimestriel des travaux

Pourquoi étais-je légitime pour cette mission ?

Il se trouve que j'avais la légitimité pour cette  mission, non pas par mes liens envers notre Don Camillo local, mais par mon expertise en matière de formation des jeunes post-bac et en formation professionnelle pour adultes. Expérience complétée par une quinzaine d'années de management et de recrutement dans des équipes pluri-disciplinaires.

Il est bon d’ailleurs de préciser que les institutionnels ont validé mon apport et choisi mon dossier pour cette mission et non notre Don Camillo local.

Je précise aussi qu’à ma demande le DRH et le DGS de l’époque étaient associés à nos conclusions et nos actions.

Est-ce que cette mission fut surpayée ?

Ce travail fut rémunéré non pas par la commune mais par le GIP FIPAN, organisme public indépendant qui a accepté cette mission de service public qui a été d’ailleurs prise en exemple dans de nombreuses communes de l’hexagone. Preuve en est pour notre blaireau local, Pepone et autres édiles qu’il ne s’agissait pas de réunionites aigues, mais bien d’un travail réel qui aurait dû déboucher sur une centaine d’emplois directs et indirects pour nos concitoyens, en plus des 10 jeunes villefranchois embauchés dans le dispositif contrat avenir.

Bien que rien ne m’oblige à révéler mes revenus, cette prestation s’est élevée à 14400€ (Hors RSI) pour 1200 heures travaillées sur 1 an. (Chiffre vérifiable auprès des services des impôts)

Donc au regret de décevoir les édiles de notre petit village, si notre commune avait eu de la complaisance envers moi, il lui aurait été simple de m’embaucher comme contractuel de nos services municipaux, ce qui aurait eu un coût bien plus important, aurait sécurisé mon parcours et été une position plus confortable pour moi.

Dois-je signaler ici que l’arrêt de ce dispositif a signifié pour moi la perte de toutes sources de revenus, eu égard au fait que je n’avais aucun droit Pôle Emploi en tant qu’auto-entrepreneur.

Puis-je simplement dire ici que ce ne fut pas le cas de nos nouveaux édiles, qui fort de leurs promesses embauchèrent dans les rangs municipaux quelques soutiens. (Faits vérifiables en consultant simplement les dates d’embauches des effectifs communaux)

Qui a réellement creusé le déficit de la commune en matière RH ?

En conclusion sur ce chapitre, après avoir eu l’honneur d’un RDV avec notre bon vieux Pepone il y a quelques temps, je n’ai pu que constater le degré de sincérité et d’honnêteté dont peut faire preuve les dirigeants de notre si joli petit village.

Je terminerai simplement en mettant en garde quiconque se prêterait à l’avenir d’allégations calomnieuses, mensongères et diffamatoires à mon encontre et je n’hésiterai en aucun cas à faire valoir mes droits.

PS : Toutes ressemblances avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que fortuite